mercredi, janvier 03, 2007
Une fin vraiment plate!Je ne sais pas pour vous mais moi je suis bien contente que les fêtes soient derrières nous. Je trouve ce temps vraiment épuisant et je n’ai pas vraiment eu le temps d’apprécier mes journées de congés.
Par contre, j’ai eu de belles fêtes sans chicane ni chichi. J’ai reçu chez moi le 1er janvier, j’ai bien réussi mon souper, c’était vraiment bon, mais on était pas mal tous sur le cul, sauf la blonde de mon père qui a décidé de cuver son vin… elle était comique!
Pour la nouvelle année je vais faire mon constat comme à peu près tout le monde. Je n’irai pas avec de grandes résolutions, car on le sait bien ça ne tient pas. Ce que je sais par contre c’est que je vais essayer de commencer mon nouveau travail sur de bonnes bases et du bon pied.
Je réalise que d’en faire trop au boulot c’est comme d’en faire pas assez. Je suis vraiment déçu du fonctionnement de mon bureau présent. Ils sont tellement « by the book » mais seulement de leur côté. Ils sont tellement vieux jeu et centrer sur le cash tellement. La femme des ressources humaines m’a pété une coche la semaine dernière et ce matin… c’est super comme finale. Après tous les services rendus ici, à chaque fois qu’ils étaient dans la marde je les dépannais et maintenant voilà le pot.
Il me semble que j’avais raison. Vendredi passé j’avais un autre rendez-vous au concessionnaire du West Island pour l’auto, à 8 h 45, ils n’avaient pas de place avant. Donc j’ai dit à la femme des ressources humaines, si j’ai un rendez-vous à 8 h 45 dans le ouest de l’île et qu’après je dois aller porter l’auto à Laval et qu’après je dois venir au Centre-ville, que j’appellerais de chez moi pour voir si le bureau fermerait de bonne heure car je ne voulais pas me taper tout le voyagement pour une heure de travail (car toute la semaine le bureau a fermé vers 1 h)… Il me semble que c’est logique. Elle commence à chialer contre moi que je devais être physiquement au bureau si je voulais être payée etc. etc. etc. Je lui ai dit que ce n’était pas une question d’argent, que je voulais juste pas me déplacer pour 1 h c’est tout, pour le reste, qu’ils fassent ce qu’ils veulent.
Donc, à mon arrivée à la maison vers 10 h 30 j’ai appelé un associé, celui qui s’occupe des heures justement, et il m’a clairement dit, « dont worried, dont come to work its not worth it, there’s no one here and we will close the office early ». Donc j’ai dit merci et j’étais bien contente de rester chez nous.
Ce matin j’arrive au bureau et j’avais une note de la femme des ressources humaines me disant : X m’informe qu'il a discuté avec toi au téléphone aujourd'hui vendredi le 29 décembre 2006 et que tu lui mentionnes que tu ne viendras pas au bureau aujourd'hui. Voudrais-tu me dire si tu veux que je déduise cette journée de ta banque de vacance ou si c'est sans solde.
Je lui ai répondu ce matin : Petite rectification, X m’a dit de ne pas rentrer ce n’est pas moi qui l’a décidé. Faites le meilleur et le plus simple.
Oh boy, elle est venue me péter sa coche, comme quoi ce n’était pas juste pour les autres, qui n’étaient pas présents car eux ne seraient pas payés et blablabla, et que j’aurais dû l’appeler elle au lieu de X blablabla….Elle criait fort : tu ne peux pas être payée pour cette journée blablalbal… Crisse paye moi pas mais ferme ta gueule! Ça se peut tu être à l’argent de même!
Aujourd’hui c’est ma dernière journée, je ne lèverai pas le petit doigt. J’ai hâte que la journée finisse! Et je me dis que dans ces circonstances j’ai pris la meilleure décision qui soit. Il y a des limites à se faire exploiter franchement.
Sur ce, bonne année à tous. J’espère que la mienne sera meilleure et beaucoup plus prometteuse!
Par contre, j’ai eu de belles fêtes sans chicane ni chichi. J’ai reçu chez moi le 1er janvier, j’ai bien réussi mon souper, c’était vraiment bon, mais on était pas mal tous sur le cul, sauf la blonde de mon père qui a décidé de cuver son vin… elle était comique!
Pour la nouvelle année je vais faire mon constat comme à peu près tout le monde. Je n’irai pas avec de grandes résolutions, car on le sait bien ça ne tient pas. Ce que je sais par contre c’est que je vais essayer de commencer mon nouveau travail sur de bonnes bases et du bon pied.
Je réalise que d’en faire trop au boulot c’est comme d’en faire pas assez. Je suis vraiment déçu du fonctionnement de mon bureau présent. Ils sont tellement « by the book » mais seulement de leur côté. Ils sont tellement vieux jeu et centrer sur le cash tellement. La femme des ressources humaines m’a pété une coche la semaine dernière et ce matin… c’est super comme finale. Après tous les services rendus ici, à chaque fois qu’ils étaient dans la marde je les dépannais et maintenant voilà le pot.
Il me semble que j’avais raison. Vendredi passé j’avais un autre rendez-vous au concessionnaire du West Island pour l’auto, à 8 h 45, ils n’avaient pas de place avant. Donc j’ai dit à la femme des ressources humaines, si j’ai un rendez-vous à 8 h 45 dans le ouest de l’île et qu’après je dois aller porter l’auto à Laval et qu’après je dois venir au Centre-ville, que j’appellerais de chez moi pour voir si le bureau fermerait de bonne heure car je ne voulais pas me taper tout le voyagement pour une heure de travail (car toute la semaine le bureau a fermé vers 1 h)… Il me semble que c’est logique. Elle commence à chialer contre moi que je devais être physiquement au bureau si je voulais être payée etc. etc. etc. Je lui ai dit que ce n’était pas une question d’argent, que je voulais juste pas me déplacer pour 1 h c’est tout, pour le reste, qu’ils fassent ce qu’ils veulent.
Donc, à mon arrivée à la maison vers 10 h 30 j’ai appelé un associé, celui qui s’occupe des heures justement, et il m’a clairement dit, « dont worried, dont come to work its not worth it, there’s no one here and we will close the office early ». Donc j’ai dit merci et j’étais bien contente de rester chez nous.
Ce matin j’arrive au bureau et j’avais une note de la femme des ressources humaines me disant : X m’informe qu'il a discuté avec toi au téléphone aujourd'hui vendredi le 29 décembre 2006 et que tu lui mentionnes que tu ne viendras pas au bureau aujourd'hui. Voudrais-tu me dire si tu veux que je déduise cette journée de ta banque de vacance ou si c'est sans solde.
Je lui ai répondu ce matin : Petite rectification, X m’a dit de ne pas rentrer ce n’est pas moi qui l’a décidé. Faites le meilleur et le plus simple.
Oh boy, elle est venue me péter sa coche, comme quoi ce n’était pas juste pour les autres, qui n’étaient pas présents car eux ne seraient pas payés et blablabla, et que j’aurais dû l’appeler elle au lieu de X blablabla….Elle criait fort : tu ne peux pas être payée pour cette journée blablalbal… Crisse paye moi pas mais ferme ta gueule! Ça se peut tu être à l’argent de même!
Aujourd’hui c’est ma dernière journée, je ne lèverai pas le petit doigt. J’ai hâte que la journée finisse! Et je me dis que dans ces circonstances j’ai pris la meilleure décision qui soit. Il y a des limites à se faire exploiter franchement.
Sur ce, bonne année à tous. J’espère que la mienne sera meilleure et beaucoup plus prometteuse!
